Grands Frères Grandes Sœurs du Canada a lancé sa campagne Mentorat Égale en septembre. Nous avons contacté un membre de notre Conseil National des Jeunes sur le Mentorat afin d’obtenir un témoignage de première main d’un membre parlant de ce que le mentorat signifie pour eux. Ce qui suit est de Henry Glover, basé en Alberta.
Je m’appelle Henry Grover et je participe au programme depuis trois ans. J’ai fait partie du Conseil national des jeunes sur le mentorat (CNJM) des Grands Frères Grandes Sœurs du Canada pendant deux de ces trois années.
Le fait d’être un mentor a entraîné de nombreux changements positifs dans ma vie. Le mentorat m’a emporté haut la main. Le fait de pouvoir non seulement soutenir quelqu’un d’autre, mais aussi de guérir mes blessures, m’a permis de voir la vie sous un autre angle. C’est aussi simple que de jouer au basket avec mon petit frère, de lancer un ballon de football, de regarder un film ou simplement d’avoir une conversation. Tout le monde peut être un mentor. Il suffit d’une réponse ou de tendre la main à quelqu’un qui en a besoin. Vous n’avez besoin de rien de particulier pour devenir un mentor ; il vous suffit d’être présent dans la vie de quelqu’un. Il n’y a pas de prix à payer. Vous trouverez vraiment du plaisir et de la paix intérieure à entretenir une relation avec un petit frère ou petite sœur.